La nav de Bruno en Guadeloupe et le contrôle "sportif" de Yoann ont ajouté une bonne dose de plaisir à la soirée. Seule ombre au tableau, l'absence de Didier à qui nous souhaitons un très rapide rétablissement.

Ca semble calme du côté de la Désirade, mais ce n'est qu'une impression.

Le parking se remplit petit à petit, et ce n'est qu'un début.

Un petit coup d'oeil après décollage.

La radio n'a pas une seconde de repos.

Les décollages s'enchaînent.

La pointe des Châteaux, on se croirait presque seul, mais à la radio, pas moyen d'en placer une !

Je suis second, Bruno est devant, il survole les îles de la Petite-Terre.

C'est ensuite Marie-Galante où ceux qui avaient des problèmes avec la scène de la Désirade se sont connectés.

Juste un petit "touch" bien sur le peigne et c'est reparti.

Les suivant font de même...

...et le ciel commence à se remplir.

Direction les Saintes...

...avec son approche décalée, un peu particulière.

Derrière, les arrivées s'enchaînent.

Droit devant vers Basse-Terre.

Là aussi l'approche est un peu spéciale (voir la carte VAC).

A peine les roues ont-elles touché le sol que l'on "remet la sauce".

Virage à gauche après décollage, il va falloir monter.

5500 pieds, ma passagère n'a même pas eu besoin de descendre pour pousser.

Tiens, tiens ! Ne serait-ce pas les célèbres Mamelles ?

On poursuit vers la pointe nord de l'île alors que certains sont déjà en approche sur le Raizet.

Après la montagne, la plaine.

Demi-tour pour se poser à Pointre-à-Pitre.

Il faut accélérer la manœuvre pour dégager le circuit le plus vite possible. Ce sera donc une semi-directe avec ce que Yoann appelle une très-très-courte base, pas le temps de faire une finale.

Il reste encore un peu de place au parking, heureusement on avait choisi un aéroport avec des larges espaces de stationnement.

Alors que les premiers bavardent tranquillement au bar, les arrivées se succèdent.

Malgré l'heure avancée, beaucoup sont déjà posés, mais il y a encore du monde en l'air.